Si de base, Allistor avait dure à croire à cette histoire, il avait fallu l’appel de son boss et des bruit extrêmes suspect derrière lui puis l’appel laisser dans le vide et d’horrible bruit de mastication pour faire comprendre que la menace était réel. Que le labo situer en Australie avait bel et bien laisser filer une saleté qui c’était rependu comme la peste et contaminer le monde. Le roux était resté figer d’effrois à regarder son portable.  

Autant dire voir un homme tomber raid mort en réunion et saigner noir, il n’avait pas percuté et été des plus déranger. La peste noire avait déjà fait des dégâts, mais là entendre la chaire se faire déchirer et les os craquer ainsi. C’était impossible pour lui.
Ni une ni deux, il avait plier bagage et c’était mis en route. Faisant le détour chez chacun des frères et sœurs pour les faire migrer avec lui, direction la Suisse.

« Dix kilomètres à pied, ça use, ça use... Dix kilomètres à pied, ça use.. les nerfs. »

Embarquant le strict nécessaire, c'est à dire une bouteille de Whisky et son jeu de carte. Le roux se mit en route et fit une pointe en Irlande pour faire venir la frangine, mais l’accueil à coup de chaussures volante... autant dire qu’il passera son chemin même si il avait prévenue de la direction qu’ils allaient prendre et espérait qu’elle les rejoindrait rapidement.

C’est donc en continuant sa descente qu’il avait récupérer un frangin au passage, bonne et mauvaise idée à la fois. Autant Meredith peut être quelqu’un d’agréable mais là..quand on est deux, et par une période apocalyptique. Autant dire, qu’il a des envies de meurtre sur son cadet qui contrairement à la chanson ne marche pas, mais lui courre carrément sur le système là.
Même si il commence vraiment à le saouler et ils ne sont pas encore arriver.

« Vingt-trois kilomètres à pied, ça use, ça use... Vingt-trois kilomètres à pied, ça use …je vais l’égorger »

Foutu mélodie, foutu refrain qui vous suce la cervelle et s’incruste que vous le voulez ou non. Le roux, marche en silence, évitant en maximum de marché dans les herbes et avant dans les zones ou il a une vue dégager. On n’est jamais trop prudent. Il regarde parfois son frère avant de baisser les yeux vers sa main et la fermer en un poing serré.

Sachant que sous le cuir noir, se cachait une foutu tache verte, une de plus. Plus petite certes que celle qu’il voyait parfois dans le reflet du miroir mais qui quand il regardait à nouveau le lendemain était partie, a croire que son esprit jouait de lui. Cette tache verte, il la déteste, elle mène avec lui un avantage... Il peut dans la limite du possible abréger des souffrances.

Il avait eu un aperçut de cette capacité-là pour un pauvre garçon qui avait été laisser pour mort, seul dans une marre de sang. Il s’en était approcher et l’avait apaisé physiquement et l’avait regarder rendre le dernier souffle. Moment horrible pour lui. Mais il s’était tut. Au moins le petit n’allait pas devenir comme une de c’est choses-là.  

« Trente-sept kilomètres à pied, ça use, ça use... Trente-sept kilomètres à pied, ça use..je vais le noyer»

Si ça continue il va le tuer, ! vraiment ! Il l’use, il l’épuise comme pas possible, Allistor même si il reste silencieux regarde son frère par moment, mentalement, Mered, t’est déjà mort dix fois de façon différente dont la noyade et la pendaison.

Parce que MERLE QUOI !! Ils sont pas encore arriver et il en a marre de cette foutu chanson à la con ! Tu m’entend ?! il en a raz la casquette !!  Il lui arrive de rouler des yeux et de maudire sa pauvre mère pour avoir oublier de mettre un bouton muet sur le galois. Franchement ça n’aurait pas été du luxe là.

-« Je sais plus combien de kilomètres à pied, ça use, ça use... Je sais plus combien de kilomètres à pied, ça use...ENFIN ON EST ARRIVER ! J’ai failli l’étriper !! »